dimanche 26 octobre 2008

Dimanche

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Cette respiration profonde, celle de l'arbre, et le petit souffle léger, de Colibri; la sérénité vient de ce que chacun est à sa place, l'arbre à sa place d'arbre, le petit d'homme à sa juste mesure, chacun se déploie, quel bonheur de goûter leurs dialogues silencieux .



5 commentaires:

Anonyme a dit…

«Les gestes spontanés sont toujours les meilleurs. Un geste posé après mûre réflexion et avec la meilleure intention du monde ne fait jamais jaillir la même étincelle.» Ralph Waldo Emerson

Bien chère Diane,

Quel beau bonheur et tendresse avec le coeur j'ai eu le plaisir d'accueillir vos mots hier chez-moi, une pure douceur qui est venue me rejoindre par en-dedans... Je prendrai le temps de vous écrire plus personnellement cette semaine. Ce matin, je voulais venir vous faire un petit clin d'oeil à vous et à colibri, comme c'est mignon comme surnom pour C......

J'aime beaucoup vous lire, car j'arrive à y ressentir intérieurement avec délice beaucoup de tendresse, de douceur et une belle simplicité profonde fort contemplative avec le regard.

"La sérénité vient de ce que chacun est à sa place, l'arbre à sa place d'arbre, le petit d'homme à sa juste mesure, chacun se déploie, quel bonheur de goûter leurs dialogues silencieux." Quelle belle et précieuse profondeur des mots vous habite le coeur et l'âme, on arrive à y saisir cet amour inconditionnel qui est là bien vivant à l'intérieur de vous.

J'aime beaucoup cette photo de Colibri, ce petit homme, ainsi que de cet Arbre.

Je vous embrasse tous les trois avec tendresse,
Lise

Anonyme a dit…

Le meilleur des quatre heure, c'est le goûter des dialogues silencieux...

La note est juste, la lumiére se glisse, le temps est suspendu, arrêté par la force d'un petit être qui sait écouter de façon innée, combien la mélodie de l'instant est jolie...

L'arbre, le temps qu'il fait, et le petit d'homme, cheminent d'une belle façon car ils sont proches et ne se veulent aucun mal...

Anonyme a dit…

Chère Lise,

Vos mots sont toujours précieux.
Je laisse celui-ci résonner, pas à pas, un peu de lenteur dans le chemin, c'est aussi ce que m'apprend petit Colibri.

Anonyme a dit…

Patrick, oui, prenons du temps pour ne rien faire, c'est-à dire vivre l'essentiel, le silence, la feuille qui tombe doucement, sans le chagrin passé ni l'agenda futur, petit Colibri ne s'endort jamais aussi bien que quand pour le prendre dans ses bras on a déposé toutes les valises invisibles mais lourdes, être totalement avec lui, avec chacun, comme cela rend fort!

Anonyme a dit…

Merci Diane pour vos mots si doux posés à la maison l'autre soir... comme est belle cette image où chaque chose est à sa place ... en écoute... et où l'entend chanter le silence... merci pour tant de douceur... le terme "petit d'homme" est un terme que j'aime par dessus tout et que j'aime aussi à employer...
à bientôt