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Abbaye du gué de Trizay
Ateliers portes ouvertes
13 commentaires:
Quelque chose de douloureux s'installe en imaginant le vide, l'abandon laissé par cette maison, où des êtres ont partagés des moments de vie, construit du bonheur lié à l'instant, et puis la démolition à venir, la poésie du lieu, glissant lentement dans l'eau pour se laisser emporter par le courant de la vie, pour laisser la place à d'autres...
Belle maison au revoir, tu nous manqueras.
J'aime les maisons, ces abris des humains.
J'ai la sensation d'une reconnaissance immédiate, d'avoir toujours connu cette maison, et d'un rendez-vous manqué, nous l'aurions bien remplie celogis, d'odeurs de clafoutis tièdes, de rires, de siestes tranquilles, d'invitations inventives, torchons à carreaux et jolies lectures, confidences au-dessus de l'eau, rêveries...
J'ai envie de parcourir la Vendée, recueillir les vestiges aussi charmants qu'anonymes...
«Si tu es seul, je serai ton ombre. Si tu pleures, je serai ton épaule. Si tu veux un câlin, je serai ton oreiller. Si tu as besoin de joie, je serai ton sourire. Mais lorsque tu auras besoin d'un ami, je serai moi.» Auteur inconnu
Bien chère Diane et bien cher Patrick,
Quel beau bonheur au coeur et douceur pour l'âme de vous retrouver et de vous entendre tous les deux. Vous embrassez si bien l'amour et le goût de la vie à l'infini...
Tendrement je vous embrasse,
avec amitiés
Lise
Bien Chère Lise, comment oser écrire cela, de façon si naturelle et aimante, merci d'oser être toi et de le dire...
Tendre journée de Paix et de Lumière, merci infiniment.
Nous t'embrassons comme nous sommes embrassés par ces belles journées toutes différentes...
je n'arrive pas à poser ce commentaire sur le blog de l'abbaye, sur la derniére et nouvelle page en haut, pourrais-tu renvoyer tous les commentaires post journées du patrimoine à cet endroit ? ps j'ai laissé quelques fautes pour que tu me reconnaisses.
Cher Thomas, chére Anne-Laure,
Ce jour, à partir et à l'aide de ce jour exceptionnel qui ne s'efface pas pour nous non plus, notre vie change et s'organise, des pierres reviennent à l'abbaye, des souvenirs se disent, les rencontres heureuses se prolongent.
Il me vient alors de l'inquiétude, tant de positif, ce Jour, comme une communion, un départ, et puis tout découle de là, de l'abbaye, du souvenir de cette journée, les rencontres se solidifient, nous construisons enfin sans effort. Merci à l'émotion qui nous traverse les uns les autres, cette émotion indispensable à notre accomplissement, au pardon, au partage, à l'incompréhension du présent, à l'avenir certain, avec pour clef de voûte l'étonnement.
Attendre est un peu long, nous avons à peine le temps de souffler, nous nous rencontrons dans les jours qui viennent.
Merci pour votre mot posé ici.
Chère Lise,
Il est toujours surprenant et doux de vous lire, merci aussi de nous réunir à chaque fois...
Douleur familière, douceur nostalgique, j'ai mal de partir, j'ai connu cela, tellement, la maison, l'eau ... et le Temps qui meurtrit ... "on" oublie ... non, pas moi, jamais . J'ai mal Diane de n'avoir pu te répondre, je l'avais fait, mon portable m'a lâchée, mon enfant-intérieur va mal ... et Liza a eu de gros pépins de santé ... et encore maintenant . Vous me manquez, tous les trois, fort, fort, je vous aime, avec toute ma tendresse . Je suis si seule maintenant ... mais je vous sais là . Gros gros bisous .
Liza
Bonsoir Diane
Votre photo vos mots d'or et de diamants votre plume d'argent m'enchantent
J'habite au bord d'un petit ruisseau ou martins-pêcheurs et truites s'enlacent.
Alors j'aime cette sérénité .
Vous êtes une grande amie de Liza c'est une fille fantastique je ne peux plus être la depuis ma lourde opération.
Aimez la Diane elle le mérite merci pour elle
Votre et son ami
Didier
Bel endroit, l'image est belle...bonne fin d'après midi...
Bonsoir Didier,
Je suis un peu gênée de cet éloge, mais très heureuse de vous lire, et de savoir qu'une même amitié nous réunit ici. Je vous souhaite de vous remettre chaque jour un peu mieux et à ce sujet le livre "La méthode de France Guillain" est pour nous un accompagnement précieux, capital quel que soit notre parcours, alors je me permets de vous en parler.
Ce doit être ravissant l'endroit où vous êtes et bien apaisant en effet, rêver au bord de l'eau, devant ces animaux que beaucoup d'entre nous n'ont plus la chance de contempler.
Merci de votre passage et de votre gentillesse.
Bonsoir Pierrot!
Vous êtes comme un oiseau, je ne vous connaissais pas, mais vous voilà venu, laissant une trace écrite, un témoignage amical. A bientôt,
Nous avons tous au fond de nous une maison où nous avons grandi, maison secrète, maison intime que nous promenons dans l'existence... D'elle sont nées nos peurs, nos rêves, notre tendresse aussi.
Je vous embrasse tous les trois avec chaleur.
Quelque chose m' alertée. Je trouvais les chrysanthèmes si pimpants que j'ai tourné la tête.
Et j'ai vu ...la maison n'y est plus.
Sans doute les berges seront-elles aménagées et le public ravi, nous irons nous promener .Comment donner au neuf le charme du temps?
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